Le 24 septembre dernier, le Sepal a organisé en partenariat avec l’École Urbaine de Lyon un séminaire sur le devenir de la planification stratégique, et par conséquent celui du schéma de cohérence territoriale.
En effet, la planification semble de plus en plus bousculée par les incertitudes croissantes d’ordres écologiques, socio-économiques et politiques, et les nouveaux défis à relever face à la fluidité des événements, l’enchevêtrement des mutations territoriales, la transformation rapide des technologies, ou encore les nouveaux souffles démocratiques.
Il s’agissait donc, sur la base d’une enquête menée auprès d’acteurs de la planification territoriale lyonnaise (élus, techniciens, représentants de la société civile), et à la suite de quelques productions récentes (étude « Scot et territoires » de la FNS, rapport du CGEDD, revue Urbanisme n°408, …), de questionner les devenirs de la planification : Comment les acteurs perçoivent les atouts et limites de la planification pour composer avec un monde de plus en plus incertain ?
Ce séminaire a ainsi réuni une vingtaine de praticiens, chercheurs et étudiants pour explorer et débattre de tels enjeux.